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Coeur de boeuf dans un corps de nouille

Coeur de boeuf...

33e ETAGE (« Cœur de bœuf…», 2004)
(Jérôme Rousseaux)
Atmosphériques Éditions/Ignatub Éditions

Au 33ème étage la vue est si belle
J’me sens pousser des ailes
Au 38ème étage c’est vraiment génial
C’est la direction générale
Au 34ème étage ils sont tatillons
C’est le contrôle de gestion
Au 36ème étage ils sont pas peu fiers
C’est la direction financière

Dans ma grosse boîte
L’air est un peu moite
L’hôtesse adorable
Les sièges éjectables
33ème étage, c’est déjà pas mal pour mon âge

Au 28ème étage faut un bon piston
C’est la communication
Au 35ème étage la clim est en rade
35 degrés centigrades
Au 29ème étage sur eux tu peux compter
c’est la comptabilité
Et au 2ème étage c’est les moins que rien
C’est le service entretien

Mais depuis qu’on s’est fait racheter
Par la tour d’a côté
J’ai du mal à me motiver

L’assistante du DRH
Me matte d’un air bravache
Mais depuis qu’on a couché
J’peux plus rien lui demander

Entre cadre quand on discute
C’est pour savoir si l’action chute
Et combien on peut toucher
Comme indemnité

L’ARGENT (« Cœur de bœuf…», 2004)
(Jérôme Rousseaux)
Atmosphériques Éditions/Ignatub Éditions

Je sais, que tu n’es pas d’accord avec la façon dont parfois je traite les gens
Tu sais, ça n’est pas si facile de s’assumer mais il faut bien gagner de l’argent
Alors, tu n’as que 18 ans mais bientôt tu comprendras mes difficultés
La chance, ne m’a pas toujours souris et c’est vrai que ne peux plus vraiment reculer

Mais l’argent, l’argent hum l’argent
De l’argent pour les gens
D’l’argent, d’l’a tune, du flouze, du blé
S’en sortir sans argent c’est compliqué
L’argent, hum l’argent, l’argent, l’argent

Avoue, que toi t’es bien content de pouvoir profiter de la situation
Mon job, te cause moins de problème de conscience quand tu veux que j’te file du pognon
Bien sûr, assassiner des gens ça n’est pas ce qu’il y a de mieux comme profession
Et j’espère, que bientôt tu trouveras un boulot qui répond à tes aspirations

Mais l’argent, l’argent hum l’argent
De l’argent pour les gens
D’l’argent, d’l’a tune, du flouze, du blé
S’en sortir sans argent c’est compliqué

L’argent, l’argent,
De l’argent pour les gens
Pour le frigo des pauvres, pour les impôts des riches
Pour donner l’aumône et le bakchich

Pour les enfants, les parents, les mendiants, les paysans, les artisans, les commerçants, les afghans, les nigérians, les brigands, les pas contents, les ignorants, les intermittents, les compétents, les orang outangs, les du gland, les partisans, les résistants, les fainéants, les mécréants, les océans, les affluents, les influents, les confluents, les chenapans, les charlatans, les Gaétans, les mi-temps, les sultans, les insultants, les consultants, les assistants, les insistants, les combattants, les débutants, les mal portants, les étonnants, les gens

LES P’TITS CHIENS (« Cœur de bœuf…», 2004)
(Jacques Duvall/Jérôme Rousseaux)
Atmosphériques Éditions/Ignatub Éditions

Les p’tits chiens qui s’font écraser
par un bus ou une ferrari
ça nous fait des p’tits steaks hachés
étalés sur les rues d’Paris

Les p’tits chiens qui s’font écraser
transformés en chipolata
leurs maîtresses viennent les ramasser
de piétonnes elles deviennent piéta

Les p’tits chiens qui s’font écraser
les passants écrasent à leur tour
quelques larmes pour le trépassé
qu’est c’que c’est si c’est pas d’l’amour

Les p’tits chiens qui s’font écraser
s’ils savaient c’qu’on peut pleurer sur
leurs viscères, leurs os fracassés
ils s’jeteraient pas sous nos voitures

Les p’tits chiens qui s’font écraser
s’ront vengés quand leur assasin
sur une crotte ira encrasser
la semelle de ses mocassins

MES OBLIGATIONS (« Cœur de bœuf…», 2004)
(Jérôme Rousseaux)
Atmosphériques Éditions/Ignatub Éditions

J’ignore le sel de la mer et je le bois
J’ignore la fin du film et je reste là
J’ignore la vie éternelle dans l’au-delà
J’ignore le b-a-ba

J’ai oublié de transférer mes avoirs
J’ai liquidé mes bons du trésor je vais les boire
J’ai oublié de mettre mes SICAV en pension
Et je ne veux plus d’obligations

J’ai déclaré n’importe quoi pour trois fois rien
J’ai essayé dans mon mutisme de m’faire du bien
J’ai observé sans déranger quelques marsoins
Et j’ai pensé souvent à rien

J’ai oublié de déplacer mes armoires
J’ai transgressé la promesse de ne plus y croire
J’ai oublié où j’avais caché mes dollars
Et je n’veux plus de toutes ces histoires

J’ai oublié de recopier tes devoirs
J’ai déchanté pour ça j’ai pris des cours du soir
J’ai oublié de venir te voir en pension
Mais je n’veux plus d’obligations

LA DOUCEUR (« Cœur de bœuf…», 2004)
(Jérôme Rousseaux)
Atmosphériques Éditions/Ignatub Éditions

Je vois un homme derrière un comptoir
Qui fait semblant de ne pas me voir
Et qui va se venger sur moi des récriminations
Que lui inflige sa direction

Je vois une femme avec des lunettes noires
Qui cachent mal son œil au beurre noir
Elle ne sait pas quoi faire, elle a peur
Elle se dit que c’est peut-être pire ailleurs

Je vois un homme qui parle tout seul
Et qui jure de ne plus recommencer
Il me demande de lui pardonner
Et cet homme me fait pitié

Je vois un type qui dit un peu trop
Qu’il faut absolument lui faire confiance
Selon lui ce serait notre seule chance
Mais moi je sais que c’est un salaud

La douceur, la douceur, la douceur, la douceur, l’amour, la tendresse, l’amour

Je vois une vieille femme qui fait chier son chien sur le trottoir
Ça m’énerve je prend la merde, je l’étale sur le chien
La vieille tombe dans les pommes,
sa tête cogne par terre le sang coule c’est pas cool

Je vois un cheval qui demande l’heure à tout le monde
Et ça me fait peur
Si jamais il venait de mon côté
Je n’ai pas de montre je serais bien embêté

Je vois une vague qui traverse la rue
Sur cette vague, il y a un bateau
Ce bateau vient dans ma direction
Ai-je le temps d’appuyer sur un bouton

Je ne vois plus rien, mes lunettes sont cassées
C’est à cause du bateau qui s’est fracassé
Sur la vitrine du magasin d’à côté
Je suis couvert de sang et de merde mouillée

La douceur…

Ca y est ma tête sort de l’eau, je respire, ça sent bon, il fait beau
Je vois une plage avec des cocotiers
Mes pieds crissent sur le sable chaud
Je vois au loin une fille
Elle vient vers moi, elle est nue, elle est magnifique
Elle a des fleurs dans les cheveux, elle me sourit, elle s’approche, elle me dit
« ignatus, tu veux faire l’amour avec moi »
je suis gêné, un peu surpris aussi
je ne me pensais pas si désirable nu
et je ne me pensais pas si connu
Je la prend, je l’embrasse, sa bouche pue
Je sens quelque chose de chaud couler entre mes mains
Et j’entend un chien gémir au loin

La douceur…

TAISEZ-VOUS (« Cœur de bœuf…», 2004)
(anonyme/Jérôme Rousseaux)
Atmosphériques Éditions/Ignatub Éditions

Si l’on séduit votre femme volage
Si les galants font sauter les verrous
Pour conserver la paix dans le ménage
Taisez-vous, maris, taisez-vous

Si vous avez les faveurs d’une belle
Gardez-vous bien d’exciter les jaloux
Soyez discret encore plus que fidèle
Taisez-vous, amants, taisez-vous

Si vous hantez les grands et l’opulence
Ne les heurtez de propos aigre-doux
Ils ont pour eux le crédit la puissance
Taisez-vous, petits, taisez-vous

D’un ton léger lorsqu’ainsi je devise
Donnant pour loi mon avis et mes goûts
J’ai peur vraiment que chacun ne me dise
Taisez-vous, bavard, taisez-vous

RONDE COMME MOI (« Cœur de bœuf…», 2004)
(Jérôme Rousseaux)
Atmosphériques Éditions/Ignatub Éditions

Je me suis bien placé
et pourtant, je sais bien, qu’on va m’envoyer balader
Je me suis rapproché
mais j’ai peur, c’est un leurre
ces gars là ne rigolent pas
dès que je m’approche de toi
ils rappliquent et malgré moi
je te quitte
ma tendre ma petite

La chaleur de l’été
nous assome et nous sommes tous un petit peu éméchés
Là juste à ses côtés
je suis bien, je n’fais rien
mais quelqu’un vient s’énerver
et l’expédier sur le bas côté comme chaque fois
et ma joie est de courte durée
mon chéri mon bébé (nha cretcheu, nha bebe)

Tu es ronde comme moi
et ma foi, je n’sais pas ce qui suscite un tel émoi
En fait ça fait des mois
et des années que toi et moi
on s’court après et après tout
tout ça sert à quoi je n’sais pas
mais chaque fois c’est plus fort, plus fort que moi
mon cochonet c’est toi…

LES CUISINES DE L’AMOUR (« Cœur de bœuf…», 2004)
(Jérôme Rousseaux)
Atmosphériques Éditions/Ignatub Éditions

Péquin moyen au Q.I. honorable
Je n’me sens bien qu’au lit et à table
Je rêve de corps de femmes qui me submergent
De tripoux, d’anguilles, de vin et d’asperges

Dans une orgie pantagruelique
Pas une olive ne manque à la panique
Entre 2 plats soudain je t’aperçois
Le foie gras ne fait qu’un tour dans mon estomac

Pour te séduire je fend la foule
Coeur de bœuf dans un corps de nouille
Je bombe le torse, ridicule écorce

Enfin j’arrive à me défaire du moule
Mais soudain ton regard me bloque et me trouble
Dans les cuisines de l’amour tu me chambres
« voudras-tu m’enduire de glace au gingembre »

Un peu baba, je perd les pédales
Vers toi je m’avance et puis je m’étale
Ma tête cogne un plat de ris de veaux froid
Tu me dis « dommage c’était bon quoi qu’un peu gras »

Pour te séduire j’implore la foule
Coeur de bœuf dans un corps de nouille
Je bombe le torse, je fatigue à force

Tel un eunuque bœuf humain je flanche
Sur un mollusque gouluement je me venge
Alors tu me quittes en disant : « c’est pas grave,
De toute façon je n’aime pas le céleri rave »

Pour te faire frire je fond la foule
Coeur de bœuf dans un corps de nouille
Je bombe le bide, ma trouille du vide

J’ASPIRE (« Cœur de bœuf…», 2004)
(Jérôme Rousseaux)
Atmosphériques Éditions/Ignatub Éditions

J’aspire à plus de complaisance
J’aspire à plus de négligence
J’aspire à plus de connivence
J’aspire à plus de déchéance

J’aspire à plus d’intelligence
J’aspire à plus de compétence
J’aspire quoi que l’on en pense
A plus, à plus de pertinence

Mais il faudra bien qu’un jour
Je me décide enfin
A quitter cette cour
Que je courtise en vain
Mais il faudra bien qu’un jour
Je me décide enfin
A faire pour toujours
Le deuil de mes liens

J’aspire à plus de différences
J’inspire à plus de résistance
J’expire à plus de bonne conscience
Shakespeare n’est plus une référence

J’aspire à plus de délivrance
J’transpire à plus de convergence
J’respire à plus de décadence
Le pire n’est pas ce que l’on pense

Mais il faudra…

LA PRESTANCE (« Cœur de bœuf…», 2004)
(Jérôme Rousseaux)
Atmosphériques Éditions/Ignatub Éditions

S’il faut encore savoir se vendre
S’il faut encore savoir attendre

Je ne suis pas sûr d’avoir la prestance
Je ne suis pas sûr d’avoir la patience

Si le plaisir qui me lie à ceux qui m’écoutent peut faire fi des entourloupes de la mise sur le marché et de ses règles alambiquées

Si le désir que j’ai à partager l’idée que je me suis toujours fait de la culture du papier on restera quelques uns à vouloir encore écouter

S’il faut …
Je ne suis pas sûr …

Si pour gagner ma vie je dois plaire aux ados et faire des clips débiles vous aurez vite compris de face et même de dos je n’ai pas le profil

Je ne veux pas jouer les vierges effarouchées mais je n’ai pas l’intention de n’être qu’un pion même si ma seule ambition est d’écrire des chansons

LES AUTRES (« Cœur de bœuf…», 2004)
(Jérôme Rousseaux/ Jérôme Bensoussan)
Atmosphériques Éditions/Ignatub Éditions

Les autres ont des rivières de diamants
Des maisons des étangs
Des meubles en acajou
plein de choses qu’on a pas
Mais nous on s’en fou
moi j’ai toi et toi t’as moi

Les autres ont des milliards de talents
Des sourires éclatants
Des victoires au Ventoux
Plein de choses…

Les autres ont des voitures sans volant
Des chiens intelligents
Tous les disques de Sardou
Plein de choses…

Les autres, c’est nous
Et on s’en fou
De te tes histoires de baba vraiment ça nous intéresse pas
Les autres c’est nous
Et t’en fait pas pour nous

Les autres ont des couverts en argent
Des avis pertinents
Un petit peu sur tout
Plein de choses…

Les autres ont une mémoire d’éléphant
Des lévriers afghans
Des lotions anti-poux
Plein de choses…

Les autres ont encore leurs grands-parents
Des amis présidents
Des formules passe partout
Plein de choses…

Les autres, c’est nous…

LES MOTS (« Cœur de bœuf…», 2004)
(Jérôme Rousseaux)
Atmosphériques Éditions/Ignatub Éditions

Les mots qui se murmurent encore
Et les mots qui rassurent nos corps
Les mots qui nous frôlent, quand on dort
Les mots sur ton épaule

Les mots qui nous oublient toujours
Et ceux qui ont envie un jour
Les mots qui se taisent, quand on dort
Les mots sur la falaise

SOUFFLE COURT (« Cœur de bœuf…», 2004)
(Jérôme Rousseaux/Christophe Monier)
Atmosphériques Éditions/Ignatub Éditions

Le souffle court je m’assied sur une pierre je me sens, sentimentalement défiant
À la vue de l’empreinte de tes pas dans la terre à mon corps défendant je descend

J’admire ton courage et la peur qui m’assaille et me glace le sang m’empêche
Le rire qui secoue mes entrailles ne sera bientôt plus que du sable un peu rêche

Je t’observe et j’ignore si tu sais que je te suis ainsi
pas à pas depuis longtemps
Mais sans doute n’es-tu pas là par hasard et si,
et si tu m’aimais seulement

J’ai envie de savoir où tu vas mais sûrement
Ne le sais-tu pas vraiment
Dans le doute je préfère éviter de m’interroger sur
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