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Sophie Rockwell

Sophie Rockwell : Suite Poèmes

Sortie le 3 septembre 2021 (Inouïe Distribution).

Réalisation : ignatus

Musiciens invités : Nicolas Repac (Swing-Swing, Arthur H…), Jérôme Bensoussan (Dominique A, Miossec…), Joseph Racaille (Thomas Ferse, Arthur H, Alain Bashung…), Michel Schick (Horse Raddish, Les Enfants des Autres…)…

 

«Suite Poèmes» est une exploration intérieure quelque part entre Randy Newman et Barbara. Avec élégance et sensibilité, Sophie Rockwell tisse des chansons fragiles aux contours délicats.

De Happy Fête (2001) à Classique (2013) en passant par Et la chute (2009) sans oublier L’amour est une cerise, Selected Songs sorti en 2020 permettait de (re) découvrir les chansons de Sophie Rockwell, auteure compositrice interprète.

Suite poeme - copieA travers cette sélection de chansons et surtout grâce au travail autour des partitions pour l’éditrice Sarah Curtet/Quickpartitions, l’envie d’écrire de nouvelles chansons lui est revenue, elle qui était partie dans l’aventure théâtrale portée par Alain Klingler (metteur en scène/ACI) et Chloé Mons (Égérie de Bashung).
Un lien fort à la musique les unissaient dans leurs créations au théâtre, de Grenoble à Avignon en passant par Paris de 2014 à 2019, avec une reprise attendue en 2021…

Dès son premier album Happy Fête sorti en 2001, «il se dégage une insondable fragilité». Sophie Rockwell enveloppe «ses mélancolies parfois légères souvent vertigineuses dans des lamentos déstructurés, des valses bancales ».
«Un univers vaguement oppressé où l’artiste jette un regard complice et sans illusion sur le monde. »

Sa musique « ne tourne pas » toujours,  puisque Sophie préfère « le mot » «au rythme», et les mots alors, débordent sur le tempo.  Mais elle est aussi éperdument attachée à la mélodie et des musiciens talentueux comme Fred Pallem, Nicolas Repac, Brad Scott, Raphaël Séguinier, Benjamin Esdraffo, Philippe Entressangle, Jean-Jacques Versari, ont réussi à nouer un fil entre sa voix fragile, ses rythmes brisés et son talent poétique.

 

2001-2021

Sophie Rockwell 2Sophie a souvent fait la première partie d’Ignatus, dès son premier album Happy Fête (2001) à l’époque intense des « petites salles » partout dans la capitale et des résidences en province, des émissions de radio…
L’artiste plus que discrète pour ne pas dire phobique de la lumière, (L’ombre prisonnière, Classique 2013) a toujours gardé le désir profond d’écrire et composer pour « les autres ».

Les voix de Françoise, Vanessa, Madeleine, Rosemary, Irma, Montserrat, Natalie, source éternelle d’inspiration, sans oublier Melody, Ella, Billie, Carla, Keren, Camille, Dolly, Catherine, Beth ainsi que la grande Juliette disparue.

Chanter malgré tout, un peu « Par défaut », comme sa chanson.

En 2020, Ignatus propose à Sophie de lui réaliser un album afin qu’elle se sente libre de se laisser porter uniquement par l’émotion de son piano. Cette simplicité, un piano autour d’une mélodie et des mots si communs qu’on en oublie les rimes,  permet à sa poésie de se saisir d’un certain lyrisme.

Suite Poèmes est une exploration intérieure où les musiciennes, les musiciens et arrangeurs, Pascale Berthomier, Gaelle Deblonde, Estelle Dieppe, Nicolas Repac, Joseph Racaille, Michel Schick, Jérôme Bensoussan, Aryobimo Yudomartono, sous la direction d’Ignatus, se fondent dans les chansons de Sophie Rockwell, en s’attachant au texte, au sens qui échappe, seulement au service de l’émotion.

Discographie :

SR Happy FêteSR Et la chuteSR Classique

 

 

 

 

 

 

Le site de Sophie Rockwell : sophierockwell.net

Revue de Presse :
En découvrant Björk, Portishead et Stina Nordenstam, elle a résolu l’équation de ses conflits culturels, où cohabitaient Barbara et des bluettes yé-yé. Sophie Rockwell bâtit une ambiance blues-jazz délicieusement cafardeux sur lequel viennent s’échouer des valses démantibulées rappelle l’inspiration déclarée de Tom Waits. « Happy Fête » (2001) Ludovic Perrin, Libération.

Prière de laisser son dogmatisme musical au vestiaire. Fée clochette au pays des boucles et des élégances classiques, ici les valses ne sont pas régulières (2001) Anne-Marie Paquotte, Télérama.

Un fil se noue entre la voix fragile, les mots anxieux, les rythmes brisés et peu à peu se dessinent les combinaisons existentielles d’une femme mélancolique et têtue. (2001) Gilles Médioni, L’Express.

Rien ne tourne rond chez Sophie Rockwell. Ni les rythmiques qui s’échappent quand on croit les saisir, ni les paroles étranges de ses complaintes désenchantées. Rien ici ne nous emmène vers la chute, mais plutôt vers la béatitude. (2009) Caroline Halazy, Les Inrockuptibles.

On ne peut oublier sa façon d’entrer dans les chansons un peu en biais, avec des mines d’orpheline nouée, avec un charme déglingué de fiancée trempée par la pluie (2001) Bertrand Dicale, Le Monde de la Musique.

De quoi se faire vraiment plaisir en ce début de mars 2009 avec un florilège de chansons intelligentes et finement travaillées mélodieusement, du très bel art. Une suite de morceaux introspectifs où les mélodies très travaillées accompagnent des textes parfois cruel nous amenant à réfléchir sur nous-même. »Et la chute » (2009) Christophe Le Gall, ResMusica.

Chanter la tristesse en évitant le théâtral, en gardant de la distance et de l’élégance, est loin d’être chose facile. Sophie Rockwell y parvient et s’inscrit de plain-pied dans une belle tradition de chroniqueurs de l’intime (2009) Tristan, Indiepoprock.

 

 

 

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